banquet de répartition 1490

Astoria applaudit bien fort lorsqu'elle découvrit le directeur de Serpentard, sa maison dorénavant. Elle n'écouta la suite que d'une oreille, pressée de manger. Quand les plats apparurent, elle eu du mal à choisir et décida de ne prendre qu'un peu de gratin de pommes de terre pour ne pas paraître affamée. Elle avait une réputation à tenir.
L'année commençait plus que bien, elle était à Serpentard, la nourriture était excellente et elle se retrouvait dans la même maison qu'Audrey.

Lorsque le directeur prononça so nom, Erwan adressa un bref signe de tête aux étudiants. Puis il attendit patiemment que le diner soit servi. 
A la table des professeurs, la rentrée était signe de retrouvailles mais aussi signe de projets à mener. Aussi lorsqu'un de ses collègues lui demanda quels spécimens les élèves allaient étudier cette année, il répondit qu'il avait trouvé un troupeau de Niffleurs et d'Abraxans sauvages.

- Les Niffleurs, je compte bien faire un petit jeu avec. Quand aux Abraxans je prévois de les faire étudiers aux plus jeunes, et réviser aux plus vieux pour leurs BUSE. Pour ceux qui ont pris la spécialisation des créatures, nous allons passer une bonne partie sur les Licornes et les dragons.

Les premières années étaient tous répartis dans une maison et c'est alors que le directeur nous adressa la paroles. Il nous dicta quelques règles et nous présenta les directeurs de notre maisons. Lorsque le directeur présenta le professeur Sokar qui était le directeur des serpentard, tous les élèves de ma table se mis à applaudir très fort et je fis pareil. 

Après la présentation des professeurs et le petits discours, c'était l'heure du repas. Les plats apparuent sur les tables, ça avait l'air délicieux, j'étais affamés.  "Et bien nous n'allons pas mourir de faim cette année" dis-je en regardant Astoria.

Après que Monsieur Sokar eut pris la parole il aurait été séant d'en faire de même, ce que fit avec éclat Mme Djo. Tout d abord elle éblouit la moitié des élèves tant les pierreries de sa robe reflétaient la lumière des torches. Ensuite sa voix était claire, limpide, mélodieuse mais aussi autoritaire. Les élèves se turent et l'écoutèrent :

"JE suis tellement heureuse d'être ici ! fit elle . Vous me semblez tous être des élèves charmants, mais néanmoins pas aussi charmant que votre directeur . Elle gloussa de rire. Néanmoins grief pour vous de n'avoir pas pensé plus tôt à l'option histoire de la magie. Qui oublie son passé est condamné à le revivre et le passé humain en particulier celui des sorciers est ... terrifiant. Non qu'il ne revête une certaine forme de grandeur... Mais il est plus noir encore que l'encre d'une composition. Cette année j'envisage d'étudier l'Italie car je maîtrise le sujet. Pour les 7ième année je proposerais un renforcement en histoire contemporaine qui leur sera plus utile. Je vous apprendrez à analyser un fait passer et à l'interconnecter à son contexte, son origine et ces conséquences, ainsi vous comprendrez le monde qui vous entoure. Donc au programme cette année : civilisation étrusques et découverte de la magie, l'avénement de Rome jusqu'aux crises des cités-état et la peste. Si nous avons le temps nous étudierons même les noces pourpres de Florences. Voila bon appétit !"

Les plats étaient à peine apparus que le professeur Djo se jetta sur les spaghetti dont elle s'emplit une copieuse assiette puis elle souffla à sa voisinne Mme Matricia :
-j'espère qu'il y aura du tiramisu"

*Mais Potty est un grand admirateur d'Ombrage c'est pour ça  Edit Siri : *haha oui mais Ombrage travaille au ministère et pour le ministère*

"Et bien, nous n'allons pas mourir de faim cette année"
Astoria attendit de finir ce qu'elle avait dans la bouche avant de répondre à Audrey.
"Non, et puis tant mieux, parce que j'adore la cuisine des elfes !"
Puis elle s'autorisa à reprendre une part de fondant au chocolat. Accompagné de crème anglaise naturellement...

De la nourriture apparu comme par magie sous mes yeux. Et puis flutte. C'était à coup sûr magique. Beurk. Était-ce comestible ? Un élève prétendit que des elfes l'avait préparer, comme pour me rassurer. Je peinai à m'empêcher de lui rire au nez. Il fallait être bien naïf pour croire en l'existence de pareilles bestioles issues de contes de mauvais goût...
Le bruit des couverts s'entrechoquant et des mastiquations s'éleva. Prétendant de ne pas avoir faim, le souffle coupé par (l'insolente) magnifiscience des lieux, je regardais les autres manger, cherchant sur leur visage des signes de dégoûts. En vain. Oh, sans doute l'empoisonement était-il plus progressif, un sortilège supplémentaire...
-Tu es sûre de ne pas vouloir en goûter ? Me demanda Magie. C'est délicieux !
J'eus un sourire légèrement contrit et répliquai :
- Ne t'en fais pas. Je crois que j'ai le mal de l'air, c'est ce satané balais... Je me sens un peu nauséeuse.
- Sérieusement ? Tu es venue ici en balais ? Alors, qu'est que t'en as pensé de cette merveille ?
- Oh, tu sais, j'ai du mal à m'y faire. Les transports magiques sont des plus... étonnants.
Encore heureux, nous n'avions pas eu le moindre problème. Mais enfin, j'aurais largement préféré une semaine de marche. Déjà, cela aurait repoussé mon horaire d'arrivée ; en plus, cela m'aurait protégé du stress dû à l'usage d'un engin si peu fiable. Dire que ma vie avait été entre les mains d'un simple objet bidouillé par des maléfices...

Lorsque la répartition fut terminée et que le directeur se rassit après la présentation des directeurs de maison, Sam prit le temps d'observer les autres sorciers, élèves comme professeurs.

C'était avec toujours autant de plaisir qu'il retrouvait l'école de magie, avec les nouveaux élèves qui étaient mi-fascinés, mis apeuré par leurs découvertes, les plus anciens qui se racontaient leur souvenirs de vacances entre amis ou ceux qui n'attendaient que la fin du discours du directeur pour pouvoir manger après leur arrivée au château. Sur ce point, il n'y avait pas trop de différence entre les élèves et les professeurs, selon Sam. Beaucoup n'attendaient qu'une chose, que l'assiette soit pleine, comme ce fut le cas pour madame Djo.

Sam était toujours étonné de voir à quel point sa collègue aimait les spaghettis au point de prendre plus que sa part dans le plat. Il la regarda se servir avec un sourire et se servit lui-même de l'un des plats présents sur la table. Il sentait que s'il devait prendre des forces pour l'année, autant commencé dès le premier soir avec le repas.

Je regardais attentivement mes proffesseurs présenter, pour bien incruster leurs visages dans ma mémoire. J'avais peur d'être un peu en dessous des autres qui connaissait déjà ce monde lié à la magie. Enfin les plats apparurent et prudemment je goutais quelques plats aux odeurs apétissantes. Quand une élève déclara que c'était des créatures nommées elfes qui préparer tout ça j'eu de la peine à avaler ma bouchée. Des animaux touchait notre nourriture ? C'était un peu dégeullasse ! Mais ça n'avait pas l'air de géner les autres assis à mes cotés, à part ma voisine de table, Rose. Elle regardait les plats d'un air dégouté. Pourtant hormis d'avoir été touché par des animaux farfelues que je ne parvenait pas à m'imaginer, c'était très bon. Je lui demandais alors gentiellement si elle n'en voulait pas. Elle me répondit alors qu'elle avait surement le mal de l'air, lié à son voyage en balais.
Quelle chance ! pensais-je. J'aurais bien aimé essayer de moyen là qui faisait tant parler de lui chez les gens normaux.

- Moi je n'ai pas eu la chance de tester les balais, je suis venue avec un autre moyen pas du tout agréable. J'ai touché une vielle botte, quelque chose m'a tiré par le nombril, et c'était vraiment déplaisant la sensation du voyage, mais juste après j'étais avec tout les autres en deux secondes c'était quand même incroyable !

Une voisine à ma table répondit que c'était un Portoloin, ce que les nés moldus utilisaient. Elle me demanda si j'étais alors une née moldu.

- Oui, je suis issus de parents normaux. ça leur à fait un choc d'apprendre que j'étais une sorcière, surtout à mon père qui pensait que la magie c'était des sornettes. C'est un ingénieur, vous comprenez, il ne croyait pas à toutes ces fadaises. Mais même s'ils m'acceptent, mes parents ont peurs que mon petit frère ne soit aussi un sorcier, ils aimeraient qu'il soit normal :/

Owen Stevens

Owen écouta attentivement le discours du directeur et regarda la directrice de sa maison attentivement, elle semblait sympathique mais Owen se dit qu'elle avait aussi bien l'air d'être une de ces profs donnant une quantité Astronomique de devoirs. Cette crainte se confirma lorsqu'elle pris la parole. Ohlala heureusement qu'il n'avait pas pris étude de la Magie ! Coraille, qui était assise en face de lui le regarda et il compris directement qu'elle avait prit Histoire de la Magie, il retint son rire en un sourire et fit semblant de se concentrer sur la nourriture qui était a sa disposition.
Tout semblait délicieux et il remplit son assiette copieusement de tout les plats qu'il pouvait trouver. Il entama la conversation avec les 1ères année qui avait été répartit avec lui.
Il croisa le regard d'Eden, il lança son regard vers Mme. Djo et M. Bellamy afin de montrer a Eden le malaise de M. Bellamy face a Mme. Djo. qui avait pris 2 fois plus de spaghetti que lui. Il se mordit la lèvre inférieure pour se retenir de rire et retourna a son plat en même temps qu'Eden.

Eden avait rejoint la table des Serdaigle et avait écouté les professeurs prendre la parole après le directeur. Il retint principalement le nom de Madame Matricia qui était sa directrice de maison. Pour les autres, il s'agissait simplement de matière à étudier, donc leurs noms étaient moins importants pour Eden.

Cependant, il ne put laisser passer la directrice de la maison Gryffondor, Madame Djo, lorsqu'elle prit la parole. Il ne comprit pas grand chose à ce qu'elle expliqua, mais à voir sa façon de parler, Eden sentait qu'il s'agissait d'un professeur très passionné, malgré qu'elle semble assez loufoque. L'un des professeurs d'ailleurs semblait s'amuser de la situation, comme d'autres personnes dans la salle.

En essayant de voir la réactions des autres élèves, il vit certains anciens élèves sourire devant le comportement apparemment habituel de cette femme, tout comme les nouveaux qui savaient maintenant à quoi s'attendre. Il croisa le regard d'Owen, l'un des nouveaux, qui était dans sa barque avant l'entrée au château, et le vit se retenir de rire avec grand mal, pendant que d'autres ne savaient comment réagir.

Josh Cumman

Josh s'était installé a coté du professeur de Potion, Sam Bellamy. Il avait écouté d'une oreille distraite le discours du directeur et quand sa collègue s'était levée afin de faire un discours a son tour il avait écouté cette femme passionnée parler en regardant les élèves, la grande majorité souriaient, il suivit ses cadets et sourit poliment à sa collègue.
Il mangea ensuite en silence écoutant Mrs. Djo parler de ses voyages un peu partout dans le monde. Josh remarqua qu'elle avait pris environ 3 fois plus a manger. Mais il n'avait pas très faim de toute manière. Mrs. Djo encourageant à la conversation, Josh fini par parler un peu avec son voisin.

MAdame Djo après coup se sentit un peu génée d'avoir pris la parole devant tout le monde. Elle avait cru que d'autres professeurs l'auraient imitée, mais bon, au moins elle s'était fait connaitre des élèves et peut être que de nouveaux étudiants choisiraient une de ses matières jugeant l'enseignante sympathique. Elle remarque néanmoins certains rires de la part d'élèves qui lui firent un peu de peine. De même les professeurs étaient intimidés par la montagne qu'était son assiette pleine de victuailles et dont le relief Alpin était mis a mal par son coup de fourchette.
Voyant l'étrange regard de son voisin le professeur de potions, elle ne put s'epêcher de lâcher :

Voyons Monsieur Bellamy; débridez vous! enseignant est le métier le plus épuisant au monde et rien de mieux que les pâtes pour avoir de l'énergie toute la journée. Elle ajouta ensuite, d'un ton plus confidentiel, et pour éviter les excès de poids, il suffit d'une petite décoction de thé vert, de menthe et de haricots sauteurs rouge de Cuba, une fois par mois..


Elle le regarda en souriant et se remit à manger.

Alors qu'il discutait avec le professeur situé de son autre côté, Sam fut interrompu par Mrs Djo. Il pensait qu'elle lui parlerait des cours, de ses anecdotes ou de ses idées, mais fut surpris d'entendre une toute autre phrase de sa part.

Il ouvrit de grands yeux, surpris, avant de comprendre la gêne de sa collègue, et avant qu'il ne puisse se retenir, il parti d'un rire franc mais sans méchanceté.

-Allons Mrs Djo ne vous en faites pas ! C'est juste que votre énergie me surprendra toujours, vous êtes pleine de surprise, vous venez encore une fois de me le prouver !

Il se tourna à nouveau vers le professeur d'astronomie qui semblait avoir été surpris lui aussi par l'intervention de la femme durant leur conversation, jusqu'à la fin du banquet.